Chez AGS, la fabrication additive s’intègre dans les processus d’usinage (Noisy-le-Grand – 93)
Le groupe AGS, sous-traitant de l’automobile, de l’aéronautique, du ferroviaire et de l’armement utilise notamment 2 machines de fabrication additive (AGS Fusion – 01) à côté de ses différents outillages traditionnels.
A noter cependant que le manque d’ingénieurs ayant assimilé les spécificités de la fabrication additive reste un frein. Depuis des décennies, les ingénieurs sont dans l’obligation de concevoir des pièces que les machines puissent fabriquer. Aujourd’hui, avec la fabrication additive, ils doivent oublier ces contraintes et laisser place à l’imagination pour concevoir des pièces totalement nouvelles. …
> Lire la suite – L’Usine Nouvelle 14/12/16
Un institut national pour la fabrication additive, rêve ou nécessité ?
Interview d’Alain Bernard, Professeur des Universités à l’École centrale de Nantes, vice-président de l’AFPR.
> A lire sur A3DM Magazine – 15/12/16
Inauguration de la plateforme Platinium 3D (Champagne-Ardennes)
Avec 5 machines disponibles autour de la fabrication additive métallique (soit un investissement de 3 millions d’euros), la plateforme Platinium3D a été inauguré le 13 octobre dernier.
Découvrez Platinium 3D et ses partenaires au travers des 2 vidéos :
Inauguration Platinium 3D
Les partenaires de Platinium 3D
Bruxelles, l’impression 3D pour rénover le patrimoine
Extrait
A l’occasion de la restauration de l’église Sainte-Catherine à Bruxelles, la modélisation et l’impression 3D apportent de véritables avantages pour gagner en temps et en argent…Toutefois, différents obstacles se dressent encore devant leur large diffusion, selon Alexander De Croo, ministre de l’Agenda numérique et des Télécommunications. « Certains sont d’ordre technique : il reste de grands progrès à faire, par exemple, au niveau de la précision de l’impression ainsi qu’au niveau de la palette de matériaux disponibles ainsi que de la connaissance du vieillissement de ceux-ci dans le temps », expose-t-il. Un autre obstacle réside dans l’acceptation des nouvelles technologies chez les professionnels liés au patrimoine, qui souhaitent, eux, davantage perpétuer les techniques ancestrales. « Il reste à définir comment combiner leur sensibilité avec l’apport technique des fabrications additives et à résoudre certaines nouvelles questions propres à la numérisation, à la modélisation, à l’impression, voire à la propriété intellectuelle. »
> Lire l’article LeSoir.be – 05/12/16
et
> Lire l’article LaCapitale.be – 02/12/16